Ce post n’est, bien entendu, pas une invitation à faire la guerre (agressivité destructrice),
mais une invitation à contacter votre SAINE agressivité. Libératrice. Créatrice. Vivace.
Votre puissance ancrée.
Celle qui donne la force d’avancer, de persévérer dans les projets et la réalisation de Soi, de construire sa vie, son bonheur, d’aller au contact pour dire ce qu’on a sur le cœur, de se relever quand on tombe, encore et encore, de ne donner de l’importance qu’à ce qui en a vraiment, de garder courage, de rester en confiance, de garder le cap.
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Bien sûr le Haka est un moyen parmi une multitude.
Peu importe le moyen, du moment qu’il vous corresponde.
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Cette vidéo pour SENTIR cette énergie particulière. Cette FORCE terrestre, ancrée.
Cela peut paraître paradoxal, mais elle amène à vivre la PAIX, la sérénité.
Comme quand on est bien présent, bien ancré, bien dans son corps, alors on se sent paisible, confiant, inébranlable.
Si vous avez déjà expérimenté ces sensations, alors vous savez de quoi je parle ici.
Et cette vidéo est magnifique car elle montre bien ce paradoxe : après ce Haka, il y a un moment où on sent tout l’amour et la paix qui émane de ces êtres. On les sent connectés en eux/elles, et également interconnectée entre eux/elles.
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Nul ne peut être puissant, endurant, sans ancrage.
Sans ancrage, l’arbre tombe.
Prenez soin de votre ancrage.
C’est une clé du bonheur essentielle.
Alors, ça vous fait vivre quoi de SENTIR cette force ?
Est-ce que vous la sentez en vous ?
Quand elle sortit sur le chemin qui mène à la rivière Il n’y avait plus d’oiseaux pour chanter Ils n’avaient plus rien à manger Depuis longtemps La rivière était morte et les poissons aussi Plus rien n’était comme avant Quand tout était fructueux Toutes les couleurs avaient disparues Même la lune était noire Depuis que la reine était malade Le monde s’était arrêté De rire aux éclats C’était son cœur Il ne battait presque plus On n’entendait plus que le vent froid S’engouffrer à travers les branches mortes Elles aussi . Elle marchait sur le chemin qui mène au bord de la rivière Ses pas étaient lourds Elle ne savait pas où elle allait Ses pas l’amenèrent au bord de la rivière Derrière elle, le village abandonné Il n’y avait qu’elle Les autres avaient préféré quitter la misère Et elle, elle se retrouvait seule au bord de la rivière Au-dessus de l’eau elle se pencha Et elle vit… Elle vit… Le visage de la reine en pâle reflet Elle ne savait pas que c’était elle Comme il était triste ce visage Il était comme abandonné Alors elle le regarda et le regarda Elle regarda comme il pleurait ce beau visage Ses larmes perles bleues rejoignaient la rivière Elle caressa ce doux visage Comme il était doux Elle aima ce visage Elle aima ces larmes perles bleues Elle aima cette rivière Elle aima qu’elle accueille si bien les perles bleues . Le soir sous la pluie Elle revint au village Elle répara sa maison Elle fit un bon feu Et l’intérieur se réchauffa Il faisait bon et doux . Le lendemain Elle plongea dans la rivière Elle tapota la surface pour la réveiller Le clapotis de ses doigts était comme le chant de l’eau Ploc plic ploc . Le soir dans sa maison Le feu était encore plus grand que la veille Elle se réchauffa bonnement Elle écouta le bois craquer Chaque craquement était comme une porte qui s’ouvre Enfin Et son corps se mit à danser de joie Son rire rejoint les étoiles Qui se remirent à briller La lune elle-même les admira Et versa sur elle ses paillettes argentées Elle s’endormit Des rêves plein les cheveux . Le matin au réveil ses yeux avaient grandi Elle voyait des couleurs jusque-là inconnues A chaque endroit où une paillette de lune était tombée Une fleur avait poussé Et comme chaque paillette était unique Chaque fleur l’était aussi Dans ses cheveux des oiseaux avaient fait leur nid Dans ses chaussures, des souris dormaient Elle marche pieds nus désormais Elle sent la terre fertile et les racines vivaces En elle . Chaque jour elle se baigne dans la rivière Elle joue avec les poissons Ils se nourrissent des jolies pierres bleues du fond Reflétées par le soleil Si lumineux Que plus rien ne peut l’entraver . Le village refleuri et reverdi A attiré les abeilles et les oiseaux Et autres animaux Et tous les amoureux du village Qui ont apprit à chanter A joyeuseter Et depuis Chaque soir dans le village On raconte cette histoire Aux plus grands et aux enfants Pour que toutes et tous se souviennent Et entretiennent la beauté De ce qui leur a été confié
Auteure texte : Isabelle Dinckel Auteure illustration : Anne Rossi : « La grande Rivière », littérature jeunesse.
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Parfois on n’ose pas Parce-qu’on a peur d’échouer Et échouer ça peut faire mal À L’ego Sauf que… La véritable douleur C’est de ne pas essayer Parce que là Ça blesse l’âme Et c’est bien plus profond qu’une blessure de L’ego … Alors Osez Osez Osez ! Encore et encore ! Oh oui il y a risque de montagnes russes émotionnelles Mais finalement les montagnes russes, ça peut être amusant n’est-ce pas ?
Et en même temps que vous hurlez de peur Vous pourrez entendre rire et exalter votre âme
La vie est une expérience Faite d’expériences Alors Quelles expériences ai-je en-vie de vivre ? Qu’est-ce que je veux vivre ? Qu’est-ce que je veux pour moi ? Qu’est-ce que je ne veux plus ? Et qu’est-ce que je préfère vivre ? M’offrir ? Qu’est-ce qui est BON pour moi ? Ce sont de bonnes questions Et c’est toujours le BON moment de se les poser !
Ah comme j’aime ma vie ! Ah comme je me régale ! Je vois ma vie comme Une aventure extraordinaire Palpitante Tellement vivante Je me sens l’héroïne de mon histoire Avec des étapes Des épreuves Des alliés Des réussites Des portes qui s’ouvrent Des postes qui se ferment De l’imprévu Des surprises Des chalenges Et toujours l’occasion de me dépasser D’évoluer Vers le meilleur