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Isabelle Dinckel - 06 75 06 04 25 - Gestalt psychothérapie - Soins Energétiques - Ateliers
ATELIER – Ose et prends ta place ! 🦁 Journée Théâtre + Gestalt – Développement personnel

ATELIER – Ose et prends ta place ! 🦁 Journée Théâtre + Gestalt – Développement personnel

🌞 Bonjour  💐

 
Oyé Oyé !
Heureuse de te retrouver 😀

Je déclare la saison des ateliers ré-ouverte ! Joie  💫 💫 💫

Quel bonheur pour moi de te proposer à nouveau des ateliers !
Si tu en as marre de t’étriquer dans ta vie, d’être tendu/e et de t’oublier dans des relations, de ne pas te sentir avoir de place, de cacher ce que tu ressens par peur, alors regarde bien ce que je te propose :
Voici un atelier pour t’aider à te déployer, à prendre ta place, oser et te montrer tel/le que tu es 🌳
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii-aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa  🤠
Bien-sûr, tu vas également augmenter en confiance ! En toi et en les autres ✨ Et avec le théâtre, tu vas, de fait, développer ta créativité 🐰 et libérer ton Etre joyeux !
Une journée merveilleuse pour développer ton audace et augmenter ton bien-être et ta sensation d’exister 🌼
Et donc j’ai intitulé cet atelier :
🦁Ose et prends ta place ! 
 
Les outils utilisés ?
Le ludisme des jeux théâtraux / impro, ainsi que la finesse de ma posture thérapeutique imprégnée de la Gestalt psychothérapie qui sera également à ton service pour ouvrir des cadenas, lâcher des boulets, lâcher-prise, et t’aider à te libérer.
Le tout dans une bonne ambiance sécure, avec mon respect et douceur habituel/e.
 
Thérapeute : Isabelle Dinckel
Assistant : Théophane Templé
 
Où ? Quand ? Tarif ?

Samedi 2 mars 2024
journée :
9H30-13H30 / 15H30-18H30 (Horaires provisoires)

44300 Nantes (Quartier Petit port). L’adresse exacte te sera communiquée lors de ton inscription.

(Transports en commun indiqués plus bas)
Pause déjeuner en dehors de la salle, tu trouveras des sources de restauration à proximité.

Tarif : 100 euros

Inscription :

NB : A partir de 18 ans.

Par téléphone ou sms au 06 75 06 04 25,
en indiquant tes prénom et nom, ainsi que ton numéro de téléphone.

Pour plus de précisions ou des questions, tu peux me contacter, je te répondrai avec plaisir.
Tu peux faire circuler l’info bien-sûr, merci pour le partage 🙏
 
Avec toute ma belle énergie et dans la joie de te retrouver dans cette belle énergie des jeux théâtraux et de la Gestalt.
 
Isabelle ✨🧚✨
 

Transports en communs pour vous rendre à la salle :

  • Tram 2 direction Orvault Grand Val – arrêt Petit Port Morhonnière (7 mn de marche)
  • Bus 80 direction Fac de droit – arrêt Fructidor (1 mn de marche)
  • Bus 26 direction Jonelière, arrêt Fructidor (1 mn de marche)
  • C2 direction Cardo – arrêt Rennes Longchamp (7 mn de marche)

 

Retrouve toutes ces informations sur ma page « ATELIERS – Prenez votre place, soyez vous-même dans le groupe – NANTES » :  https://letempsdetresoi.com/ateliers/  

Isabelle Dinckel
Le temps d’être soi
Gestalt-Énergie – Jeux théâtraux – Ecriture

 

Individuel et groupes
Thérapie et développement personnel

 

 

06 75 06 04 25

Comment connaître nos besoins corporels ?

Comment connaître nos besoins corporels ?

 

Comment connaitre nos besoins corporels ?

La plupart d’entre nous entendons de partout ce qui est bien ou pas bien ou mieux de faire.
« Manger ceci, boire cela, se lever et se coucher à tels horaires, bouger comme ci, se soigner comme ça… et ça c’est pas bien par contre ».
Nous entendons tout et son contraire. Il y a de quoi s’y perdre avec tous ces avis EXTERIEURS… Et surtout de quoi SE perdre. Perdre la connexion à soi, à son instinct, son intuition, son INTERIEUR.

Ces conseils viennent de partout : famille, amis, voisins, collègues, télé, magasines, etc. On pourrait avoir parfois même l’impression de naviguer dans un bain de « il faut » « tu dois » « t’as qu’à » « fais ça »…
Et moi ? Comment je fais pour m’y retrouver ? ME retrouver.

Cette confusion est accentuée pour les personnes qui ont vécu des injonctions et obligations qui allaient à l’encontre de leur véritable nature. Ces personnes se sont retrouvées, en quelque sorte, dénaturées. Car quand on vous répète pendant des années, depuis votre plus tendre enfance que « ça c’est bon pour ta santé », « ça c’est mauvais pour ta santé », ou « ça c’est interdit », ça rentre en vous, vous finissez par en être convaincu/e, vous vous persuadez même parfois que vous aimez ça alors qu’au départ, de façon innée, vous détestiez. Ou le contraire.

 

Voici ma vision à ce sujet, sujet qui me passionne puisqu’il s’agit de vérité, authenticité et liberté 😁

Déjà je choisis de prendre ces expérience de bain de « il faut » « tu dois » « t’as qu’à » « fais ça », comme une invitation à réaliser le brouhaha et à prendre de la distance avec ça. Parce que plus ça va et plus je comprends qu’il n’y a qu’une seule personne qui sait ce qui est bon et juste pour moi : c’est moi. Je comprends également que chaque humain est une graine unique et que les besoins des uns et des autres varient. Des fois je m’amuse à imaginer que les personnes qui préconisent des conseils sur les besoins du corps ne font que parler de leurs propres besoins. Alors c’est parfait pour les personnes qui ont les mêmes besoins car ça résonne pour elles, ça leur parle et ça les aide. Mais pour les personnes qui se sentent perdues, c’est plus complexe, le risque étant d’entrer dans une pratique qui ne leur correspond pas.
Dans l’absolu, aucune pratique n’est ni bonne ni mauvaise ni meilleure qu’une autre. Par contre, elle peut être bonne ou mauvaise ou meilleure pour soi.

Déjà, de comprendre ça, c’est un grand pas.
Ensuite, à chacun/e de trouver le moyen de se (re)-connecter à son instinct, à son intuition, à ses véritables besoins.
Je peux ici vous donner quelques pistes. Mais la réalité c’est que vous êtes la seule personne à pouvoir accomplir cela. Avec de l’aide nécessaire parfois.

 

Piste n°1 : Lâcher la tête et se connecter au corps * !

C’est la base à mon avis.
Vous ne trouverez jamais les vraies informations dans votre mental, tout simplement parce que vos besoins corporels sont… dans le corps * ! Les affaires corporelles sont les affaires du corps.
Et plus vous serez connectés à votre profondeur, plus vous capterez facilement les infos.
Je rencontre tellement de personnes coupées de leur corps… Le cerveau carbure, c’est top, mais alors pour ce qui est de l’intelligence du corps, c’est autre chose. Le tout c’est de s’en rendre compte et de choisir :  » Est-ce que je continue à être dans la tête, ou est-ce que je choisis de découvrir et de me connecter à tout le reste de mon corps ? « . Prenez le temps de réaliser que votre tête n’est que (approximativement) maximum 1/10 ème de votre organisme… ça donne une idée de tout ce à côté de quoi vous passez en n’occupant que votre tête ! Vous profitez de beaucoup moins de la moitié de vous-même !

  • Je précise rapidement ici ce que j’appelle le corps : il s’agit de l’union de la « chair » et de notre énergie qui en réalité ne sont, de mon point de vue, justement pas séparés. Certaines personnes considèrent le corps comme de la simple chair, de la viande, ou pire une machine. Pour ma part, j’ai une toute autre opinion du corps. Pour moi c’est une « matière » noble qui est en réalité de nature énergétique / spirituelle. Et c’est pour cela qu’il est vecteur d’informations. Les informations circulent énergétiquement. TOUT est énergie ! Et nous pouvons nous connecter à l’énergie et capter les infos.

 

Ok mais alors, comment se connecter au corps ?

Connexion au corps

 

Voici encore une fois des pistes :

– S’ancrer = habiter son corps en conscience.

C’est ok de faire des allers-retours entre la tête et le corps. En tant qu’Etres énergétiques faisant une expérience humaine, nous sommes nombreux à vivre cette expérience. Ce qui est embêtant c’est de n’être QUE dans la tête… Ou TROP.
Dans tous les cas, l’idée est d’aller de plus en plus dans le corps et donc notre énergie. Avec patience et persévérance. De redonner sa juste place au corps et sa juste place au mental. Pour la plupart d’entre nous, nous avons besoin d’augmenter la place du corps et de diminuer la place des pensées.

Il existe plusieurs façons de s’ancrer :
– Par des méditations avec les racines qui partent des pieds et se plantent dans la Terre.
– Faire des relaxations sous forme de scan corporel où vous allez être curieux/se de « Alors qu’est-ce qui se passe dans mon corps ici et maintenant ? », en scannant de la tête aux pieds, toutes les parties du corps, en surface et en profondeur, en SENTANT vos sensations corporelles (chaud / froid, tendu / relax, ça gratte, picotements, lourd / léger, agréable / désagréable…)
Ce sont des méthodes très bien pour commencer. Ensuite au fur et à mesure, aller de plus en plus dans le concret :
– Sentir le poids de son corps.
– Marcher et agir en étant dans nos 5 sens corporels pour vivre la pleine conscience corporelle.
– Pour s’ancrer, il y a également la clé du plaisir. Car quand on trouve se monde plaisant, alors c’est beaucoup plus facile d’y jetter l’ancre.

enfant jouant de la guitare

– Retrouver l’Unité.

Associer nos intuitions + pensées + émotions + corps + énergie.
C’est-à-dire faire le lien entre tout ça.
Par exemple, constater que quand vous vous racontez (= pensée) quelque chose de négatif alors vous allez avoir des sensations dans vos émotions/sentiments + votre corps + votre énergie.

Si vous vous racontez « Je suis nul/le, bon/ne à rien » ou  » Je ne vais jamais y arriver » ou  » Je suis moche » ou « personne ne m’aime », alors sentez : comment cela impacte votre corps ? Si vous ne sentez rien, c’est que vous n’êtes pas encore connecté en conscience au corps. Donc connectez-vous à votre corps et redites ces phrases négatives que vous avez tendance à vous raconter. Et observez, sentez l’impact dans votre corps. Vous verrez avec la pratique qu’il y a des émotions et sentiments désagréables (tristesse, peurs, colère, angoisse, oppression…) qui vont avec ces pensées, ainsi qu’une baisse d’énergie, peut-être aussi du stress. Notez qu’ici ces émotions / sentiments sont parfaits pour nous faire sentir à quel point ces pensées négatives nous font souffrir. ça marche également avec les croyances positives. L’impact est très agréable et l’énergie augmente.
Et dans l’autre sens : Si vous avez mal au corps, alors cela peut influencer vos émotions et vos pensées.
Aure chose : si quelqu’un vous manque de respect, vous pouvez ressentir de la colère, et cette colère sera probablement associée à la pensée : « C’est TROP là, ça suffit ! ». Et ici la colère est précieuse car elle nous indique qu’il y a quelque chose qui ne va pas pour soi.
etc.

 

Piste n°2 : Lâcher prise et vous laisser guider

Se laisser guider ok, mais par quoi ?
Là encore c’est à vous de trouver votre ou vos guides intérieurs.
Et un partage de pistes :

–  Le corps.

Mon guide favori forcément pour ce thème.
Votre corps, votre énergie, vous dira très clairement ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas, grâce, entre autre au sentiment de dégoût ou plaisir, non pas dans la bouche (même pour ce qui concerne l’alimentation), mais au niveau du ventre et éventuellement thorax.
Si vous demandez à votre corps comment il se sent avec tel aliment, et que vous ressentez une joie profonde et/ou le corps est détendu et respire amplement, et/ou ça pétille de partout, alors c’est que c’est BON pour vous. Si vous sentez des contractions et/ou du stress et/ou une respiration restreinte, voire coupée, et/ou une douleur, alors c’est que c’est mauvais pour vous. S’il y a un sentiment de nausée, donc de dégoût, c’est que c’est toxique pour vous.
Cette méthode fonctionne uniquement si vous êtes bien connecté/e au corps.

– Réparer : Les souvenirs et la vérité rétablie

Pour les personnes qui se sentent avoir été dénaturées, il s’agit de retrouver votre véritable nature.
Cela nécessite parfois de faire un peu d’archéologie de votre histoire, votre vécu d’enfant et d’adolescent/e.

Que s’est -il passé pour vous au niveau de vos besoins ? Vos adultes référents de l’époque étaient-ils à l’écoute de vos besoins goûts, désirs, envies ? Etaient-ils à l’écoute de vos limites ? Vous ont-ils incité à découvrir sainement de nouvelles choses tout en respectant vos refus ? Ou vous ont-ils forcés sans considérer ce que vous sentiez ou ressentiez ? Ou au contraire, étiez-vous attiré/e par quelque chose qui vous a été interdit ?
A quels endroits vous êtes-vous senti non-entendu/e, non accueilli/e dans votre réalité corporelle ?
Quels étaient vos goûts innés ? Qu’aimiez-vous naturellement ?
Quels étaient vos dégoûts innés ? Que détestiez-vous naturellement ?

Par exemple avec les aliments, peut-être détestiez-vous le fromage ? ou le pain ? ou tel fruit ou légume ou viande ou boisson ? Mais on vous a soit obligé/e, soit fait croire que c’était bon pour vous, ou les deux. Et vous vous en êtes auto-persuadé/e, parce que quand on est enfant, on fait tout pour  faire plaisir aux adultes, surtout papa et maman, pour leur plaire, pour être aimé/e. Alors peut-être vous êtes-vous raconté que c’était bon en fait, en utilisant des stratagèmes mentaux, et vous avez fini par y croire et par adopter cet aliment comme bon pour vous. Alors il se peut que cet aliment soit bon pour vous au final. Mais dans ce genre de situation, ça vaut la peine de vérifier ce que dit le corps, en profondeur. Car parfois le corps révèle que ça ne convient absolument pas, et cela s’exprime jusqu’à l’allergie. Car quand un aliment ne convient pas à un corps, le corps ne sait pas quoi en faire, ça ne se digère pas et ça traîne dans le corps comme ça peut, en abîmant souvent des zones corporelles. Il y a souvent de la fatigue ou de l’épuisement généré par ça, en conséquence.
Je pense sincèrement que ça vaut le coup de prendre le temps d’élucider cela et de rétablir la vérité. faire le tri entre le vrai et le faux. Parce qu’il s’agit de notre véritable nature et de vivre pleinement.

– Les synchronicités et guides spirituels

Si vous êtes connectés aux plans subtils, cela vous parlera probablement.
Vous pouvez très bien demander à… ce en quoi vous croyez de lumineux et bénéfique pour vous, et qui ne demande qu’à vous aider à vous épanouir et vous sentir bien. Peu importe ce que c’est ou son nom, le tout c’est d’y croire.
Alors adressez-vous à cette ou ces énergies : votre coeur, votre conscience supérieure, votre énergie, l’Univers, la Vie, votre âme, vos guides, votre Dieu, vos déesses, votre animal totem, vos fées, vos anges, la Terre Mère… Peu importe ! Mais adressez-vous à eux et demandez-leur du fond du coeur, avec sincérité et le véritable désir d’accueillir leur réponse, quelle qu’elle soit. Dans la foi que cette réponse sera juste et bonne pour vous. Demandez-leur.
Par exemple, dites-leur après les avoir appelés et nommés :  » C’est quoi mes véritables besoins, mes véritables goûts? Je te/vous demande de m’aider à connaître et reconnaître mes véritables besoins, mes véritables goûts. Je vous demande de me dire quels sont mes véritables besoins, mes véritables goûts. ».
Ensuite, lâchez ! Dans le sens : ouvrez-vous bien car la réponse va arriver. Ouvrez-vous car la réponse va arriver d’une façon que vous n’avez absolument pas imaginée. ça peut être un mot ou une phrase entendue dans la rue ou ailleurs de façon surprenante, une chanson qui s’invite dans votre tête, une affiche, des flashs, une info dans le roman que vous lisez / le film que vous regardez, dans lequel le héros adore telle chose, etc.

La synchronicité c’est quand ça résonne fort pour vous : « Ah ouiiiiii ! Mais ouiiiiiii !!! « .
C’est plus qu’une coïncidence. Il y a quelque chose en vous qui vous dit clairement que c’est SPECIAL. ça vous parle jusqu’au tréfond de votre âme. ça vous fait vibrer. C’est magique.
Et puis quand vous avez reçu votre réponse, vos réponses, alors remerciez. Vous pouvez remercier à l’avance si vous ressentez sincèrement cette foi que la réponse va arriver.

Pour ma part, je vous partage une anecdote. Le jour où j’ai sincèrement posé la question de mes véritables besoins, j’ai reçu des réponses, dont une qui m’a beaucoup amusée : dans la rue, un homme se promenait avec son chien, un très beau chien qui n’obéissait pas et se promenait joyeusement un peu n’importe où. L’homme a fini par se fâcher et appeler son chien très fort : « Noisette ! Noisette !!! ». J’ai adoré ce clin d’œil subtil. Et le fait est que j’adore les noisettes, depuis toujours. Petite je les cueillais en cachette dans le noisetier de ma grand-mère 😁

 

Et vous ? Comment faites- vous pour (re)connaitre vos besoins ?
Merci de partager votre expérience qui pourra nous inspirer 🙏❤️👍
Vous pouvez les partager sur ma page facebook, en commentaire de cet article sur facebook que vous pouvez retrouver ici (ou le post juste en dessous sur la même page facebook) :
https://www.facebook.com/photo/?fbid=791923479599083&set=a.433847955406639

Isabelle Dinckel
https://letempsdetresoi.com

 

 

 

 

 

 

VIDEO –  » Comment aller à la rencontre de son âme ?

VIDEO –  » Comment aller à la rencontre de son âme ?

L’ÂME :  Comment aller à la rencontre de son âme et en faire une force dans sa vie ?https://www.youtube.com/watch?v=9fcNFGWE8n0

🙏💚✨ C’est le genre de documentaire qui met vraiment du baume au cœur, ouvre les êtres, apaise… et nourrit notre âme
Je vous souhaite une belle aventure et libération.
De tout cœur.
Isabelle
🌼🌹🌍✨🌳🌸🌟

Résumé de l’auteure :

 » Comment aller à la rencontre de son âme ?
Depuis toujours, l’humanité s’interroge sur l’âme. Ce film propose de poursuivre cette réflexion en donnant la parole à des philosophes, des médecins, des thérapeutes, des chercheurs de sens, qui essaient de comprendre ce qu’est l’âme et comment elle peut être, plus que jamais, une ressource et une force dans la vie de chacun.
Narration: Hélène de Fougerolles
Avec Frédéric Lenoir, Laurent Gounelle, Sophie Peters, Catherine Henri-Plessier, Jonathan Lehmann, Thierry Janssen, Agnès Stévenin, Dr Antoine Moulonguet alias Sénanque, Dr Yasmine Liénard, Dr Olivier Chambon, Audrey Fella, Armelle Six, Réjane Ereau, Miriam Gablier, Stephane Ayrault, Christine Louveau, Catharina Von Bargen, Aurelie Godefroy, Thi Bich Doan, Jocelin Morisson, Gwenaëlle Batard, Laurence Baranski, Stéphane Riot, Matthieu Dardaillon, Michel Gallet, Lucie Hubert, Catherine Frade, Marc Silvestre, … « 

Valerie Seguin FILMS

https://www.youtube.com/watch?v=9fcNFGWE8n0 

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Je me lance dans l’auto-édition !

Je me lance dans l’auto-édition !

Bonjour,
 
J’avais envie de vous partager ceci aujourd’hui.
Grâce à la Gestalt, j’ai réalisé certains de mes rêves. Comme d’ouvrir mon cabinet de psychothérapie, voyager dans une île paradisiaque, aller nager avec les dauphins en liberté…
Gratitude infinie.
Et aujourd’hui, j’ai un rêve, qui a d’ailleurs ré-émergé il y a quelques années, grâce à un séminaire Gestalt, et qui aujourd’hui me pousse à être réalisé. Bref, tout un processus. Et aujourd’hui c’est mûr, le fruit peut tomber : je me lance dans l’autoédition de mon premier roman de fantasy ! C’est de la fantasy jeunesse, c’est-à-dire dans le même genre que « Le Seigneur des Anneaux » ou « Harry Potter », voyez ?
Je suis encouragée par des proches (ça m’aide !) et aussi un très beau retour d’une éditrice professionnelle de fantasy qui s’est intéressée à mon Art.
Heureuse de partager cela avec vous aujourd’hui.
 Aujourd’hui le rêve devient projet.
Je suis fermement décidée.
Alors si ça résonne pour vous et que votre coeur est joyeux de me suivre, vous pouvez le faire sur ma page d’auteure fraîchement créée sur Facebook.
Au plaisir de vous y retrouver !
Et je vous souhaite de tout coeur de réaliser vos rêves, parce que la vie est tellement exaltante quand elle a du sens, que le coeur parle VRAI, et que le corps vibre de joie.
 
Pour me suivre en tant qu’auteure en projet d’auto-édition, c’est par ici :
Les doigts de pieds en éventail

Les doigts de pieds en éventail

Les doigts de pieds en éventail, ça veut bien dire ce que ça veut dire.
Dans la vie on a le choix.
 
Soit
Se conformer, répondre aux attentes des autres, se laisser influencer, se laisser contrôler, obéir aux autres, continuer à avoir peur, s’étriquer, s’oublier soi-même finalement, jusqu’à oublier qui on est vraiment;. Et là… C’est la misère de l’âme…
Et ça ne sert à rien de maugréer après qui que ce soit (à part sortir sa colère, c’est vrai que des fois on a besoin de passer par là). La vérité est que c’est soi-même qui a choisi de mettre ces chaussures étriquées.
 
Soit
Accepter que c’est soi-même qui a créé cette situation (même si l’ego / victime est contrarié). Reprendre sa responsabilité. Reprendre son pouvoir. Quitter le contrôle, quitter la peur, quitter la soumission, quitter le costume, quitter le rôle erroné.
Envoyer valdinguer tout ça dans un grand feu de joie.
Retrouver ses vrais besoins, désirs, goûts, plaisirs et rêves.
Réaliser ce qui nous tient à coeur, ce qui nous prend aux tripes et nous fait vibrer de joie jusqu’aux tréfonds de notre âme.
 
Parfois on croit que c’est plus confortable de rester dans notre zone de « confort » car c’est ce à quoi on est habitué, et puis… La peur de l’inconnu, du changement….
Mais la réalité est que réussir à mettre les voiles et partir à l’aventure est, certes inconfortable, mais tellement grisant ! C’est exactement là, à cet endroit précis qu’on se sent vivant. Quand on ose sortir des ornières. Il y a dans le coeur ce brasiers qui s’enflamme. Et il y a ce cri de joie de l’âme, unique, savoureux et tellement vivant.
 
Isabelle Dinckel
Gestalt-Energie

Et retrouvez des messages inspirants régulièrement sur ma page facebook : Le temps d’être soi – Gestalt – Isabelle Dinckel
Sur le chemin qui mène à la rivière

Sur le chemin qui mène à la rivière

Rivière verte. illustration de Anne Rossi "La grande rivière" Littérature jeunesse

 

Quand elle sortit sur le chemin qui mène à la rivière
Il n’y avait plus d’oiseaux pour chanter
Ils n’avaient plus rien à manger
Depuis longtemps
La rivière était morte et les poissons aussi
Plus rien n’était comme avant
Quand tout était fructueux
Toutes les couleurs avaient disparues
Même la lune était noire
Depuis que la reine était malade
Le monde s’était arrêté
De rire aux éclats
C’était son cœur
Il ne battait presque plus
On n’entendait plus que le vent froid
S’engouffrer à travers les branches mortes
Elles aussi
.
Elle marchait sur le chemin qui mène au bord de la rivière
Ses pas étaient lourds
Elle ne savait pas où elle allait
Ses pas l’amenèrent au bord de la rivière
Derrière elle, le village abandonné
Il n’y avait qu’elle
Les autres avaient préféré quitter la misère
Et elle, elle se retrouvait seule au bord de la rivière
Au-dessus de l’eau elle se pencha
Et elle vit…
Elle vit…
Le visage de la reine en pâle reflet
Elle ne savait pas que c’était elle
Comme il était triste ce visage
Il était comme abandonné
Alors elle le regarda et le regarda
Elle regarda comme il pleurait ce beau visage
Ses larmes perles bleues rejoignaient la rivière
Elle caressa ce doux visage
Comme il était doux
Elle aima ce visage
Elle aima ces larmes perles bleues
Elle aima cette rivière
Elle aima qu’elle accueille si bien les perles bleues
.
Le soir sous la pluie
Elle revint au village
Elle répara sa maison
Elle fit un bon feu
Et l’intérieur se réchauffa
Il faisait bon et doux
.
Le lendemain
Elle plongea dans la rivière
Elle tapota la surface pour la réveiller
Le clapotis de ses doigts était comme le chant de l’eau
Ploc plic ploc
.
Le soir dans sa maison
Le feu était encore plus grand que la veille
Elle se réchauffa bonnement
Elle écouta le bois craquer
Chaque craquement était comme une porte qui s’ouvre
Enfin
Et son corps se mit à danser de joie
Son rire rejoint les étoiles
Qui se remirent à briller
La lune elle-même les admira
Et versa sur elle ses paillettes argentées
Elle s’endormit
Des rêves plein les cheveux
.
Le matin au réveil ses yeux avaient grandi
Elle voyait des couleurs jusque-là inconnues
A chaque endroit où une paillette de lune était tombée
Une fleur avait poussé
Et comme chaque paillette était unique
Chaque fleur l’était aussi
Dans ses cheveux des oiseaux avaient fait leur nid
Dans ses chaussures, des souris dormaient
Elle marche pieds nus désormais
Elle sent la terre fertile et les racines vivaces
En elle
.
Chaque jour elle se baigne dans la rivière
Elle joue avec les poissons
Ils se nourrissent des jolies pierres bleues du fond
Reflétées par le soleil
Si lumineux
Que plus rien ne peut l’entraver
.
Le village refleuri et reverdi
A attiré les abeilles et les oiseaux
Et autres animaux
Et tous les amoureux du village
Qui ont apprit à chanter
A joyeuseter
Et depuis
Chaque soir dans le village
On raconte cette histoire
Aux plus grands et aux enfants
Pour que toutes et tous se souviennent
Et entretiennent la beauté
De ce qui leur a été confié

Auteure texte : Isabelle Dinckel
Auteure illustration : Anne Rossi : « La grande Rivière », littérature jeunesse.

Vous aimez ce texte ?
Vous pouvez me faire un retour en commentaire sur ce blog.
Vous pouvez également le partager en précisant le nom de l’auteure, merci !

Osez Osez Osez, encore et encore !

Osez Osez Osez, encore et encore !

Parfois on n’ose pas
Parce-qu’on a peur d’échouer
Et échouer ça peut faire mal
À L’ego
Sauf que…
La véritable douleur
C’est de ne pas essayer
Parce que là
Ça blesse l’âme
Et c’est bien plus profond qu’une blessure de L’ego

Alors Osez Osez Osez !
Encore et encore !
Oh oui il y a risque de montagnes russes émotionnelles
Mais finalement les montagnes russes, ça peut être amusant n’est-ce pas ?

Et en même temps que vous hurlez de peur
Vous pourrez entendre rire et exalter votre âme
 
 
Auteure texte : Isabelle Dinckel
J’ai décidé d’être heureuse

J’ai décidé d’être heureuse

Chère vie, Univers, Grand tout, conscience supérieure, Père Noël, version quantique avancée de moi-même, ou quel que soit ton nom,

J’ai longtemps cru que je n’avais pas le droit au bonheur, que les bonnes choses, celles qui me faisaient envie n’étaient pas pour moi.
Alors voilà, après avoir ramé dans ma vie pendant toutes ces années, je me dis qu’il est temps de changer de croyances.
Alors tu sais quoi ?
Aujourd’hui je décide de croire que le BONHEUR est POUR MOI. Pour moi aussi. OUI !
J’ouvre mon cœur, la porte du bonheur, de la réussite, de l’abondance, de  la SATISFACTION de mes besoins, de mes envies, désirs, rêves… Bref, tout ce qui est BON pour moi.
J’accueille TOUT le BON que tu m’envoies.
S’il te plaît, aide-moi à avoir les bras assez grands et forts pour accueillir tout ça (symboliquement bien sûr, Je n’ai pas envie de ressembler à la femme élastique !)
Et les ailes suffisamment déployées pour entourer tes cadeaux d’AMOUR et en prendre le plus grand soi.

Merci de m’aider à accomplir tout ça.

De tout cœur,

 

Isabelle

 

Croire en soi

Croire en soi
Pas si simple quand on n’en a pas l’habitude
Quand on n’a pas été élevé/e
Avec un adulte encourageant
Bienveillant et valorisant

Et encore plus dur
Quand on a été élevé/e
Avec un adulte dévalorisant
Jugeant et cassant

Surtout quand on se rend compte
Qu’on a introjecté (inculqué)
Toutes les dévalorisations
Et qu’on les transporte en soi
Et qu’on se les répète
Parfois en boucle
Inconsciemment

Et en même temps
Si vous avez conscience de ça
C’est bon signe
C’est que ça n’est plus tout à fait inconscient
Et que vous allez pouvoir vous libérer de ces pensée poisons !

Vous n’êtes pas obligé/e
De continuer à écouter ces mensonges
Ces mensonges sur vous
Vous pouvez les transformer
Vous pouvez décider de croire en vous
Libre à l’autre de ne pas croire en vous
Ça lui appartient
Vous pouvez lui rendre ce qui lui appartient
Et reconstruire votre monde
Comme vous le rêvez !

 
 
 

 

Auteure : Isabelle Dinckel

Être une bonne mère pour soi

Être une bonne mère pour soi

Voici une clé qui pourra changer bien des choses dans votre vie 🙂

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Dans notre histoire personnelle, nous avons vécu des manques. Des besoins n’ont pas été satisfaits, n’ont pas été comblés.
Pour la plupart d’entre nous, il y a eu beaucoup d’insatisfaction. Cela nous a fait vivre beaucoup de frustration. TROP de frustration. Et cette grande frustration a pu générer d’autres émotions fortes, comme la colère. Et la plupart du temps, ces fortes émotions n’ont pas été régulées. Alors, avec toutes ces fortes émotions qui étaient TROP, on a vécu l’insupportable. Et cet insupportable, nous avons tout fait, dès que nous avons pu, pour ne plus le contacter. et donc, nous avons tout fait pour éviter de contacter la frustration. Car nous avons fait le raccourcit inconscient : frustration = insupportable. Et nous avons tendance à l’éviter, encore aujourd’hui, même si c’est inconscient. Nous faisons tout pour éviter la frustration. C’est important de le comprendre car ça peut expliquer certains comportements que nous avons. Comme de vouloir les choses, tout de suite.

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Ce qui se passe aussi, et c’est ce dont je vais vraiment parler ici, c’est que notre enfant intérieur qui a tant manqué, est toujours dans l’attente que Maman vienne le/la combler, s’occuper de lui/d’elle. Ce n’est pas l’adulte en nous qui vit ça. c’est l’enfant. Il/elle a toujours envie/besoin que Maman s’occupe de lui/elle, et prenne soin de lui/elle. Il/elle est dans l’ATTENTE permanente. Et cela a des conséquences sur notre vie aujourd’hui. Par exemple, on va vivre la dépendance. dépendance affective, financière, matérielle, corporelle… Quand on vit ce genre de situation, ça peut activer cette attente que quelqu’un vienne s’occuper de nous. Ce quelqu’un n’est pas forcément notre mère d’origine. Cela peut être quelqu’un qui, pour nous, peut potentiellement jouer ce rôle. Comme le conjoint, une amie, une sœur… Nous vivons souvent cela avec la compagne ou le compagnon, le mari, la femme, bref l’adulte qu’on aime tant et avec qui on vit en couple. Parce qu’avec cette personne, on vit un attachement profond et que cette attachement profond permet l’émergence des expériences non-digérées, que nous appelons « Gestalt Inachevées » en Gestalt. Pour ça que la vie de couple est parfois mouvementée 🙂
Et en même temps, cette attente peut être vécu avec l’autre en général.
Quoi qu’il en soit, on a tendance à ATTENDRE que l’autre :
Prenne soin de nous
Nous écoute
Nous entende
Nous respecte
Nous comprenne
Nous aime
Nous reconnaisse
Fasse des choses pour nous
Parfois, si on observe bien, on peut même se surprendre  à attendre que l’autre nous chouchoute. Un peu comme une maman, quoi… Surtout quand on est malade. C’est bien d’arriver à voir ça. La plupart du temps, ça se passe inconsciemment. Ce qui aide à le voir, c’est qu’à chaque fois qu’on voudrait cela, et que l’autre ne répond pas à la demande, alors on ressent une telle frustration ! insupportable ! Si vous arriver à le voir, c’est déjà un changement ! Parce que l’inconscient devient conscient. C’est un sacré changement !
Parfois on va même s’arranger, toujours inconsciemment, pour être dans cette position de dépendance. Pour pouvoir RECEVOIR, être aidé/e, chouchouté/e. Pour recevoir ce dont l’enfant a besoin.
Sauf que, en réalité, Maman d’origine n’est plus là, ou pas tout le temps. Elle est dans une autre maison, ou à 100km, ou 500km, voire plus loin encore, et elle peut même être décédée. Donc nous faisons jouer ce rôle à d’autres personnes.

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Bien sûr, je ne suis pas en train de dire qu’il ne fait JAMAIS demander de l’aide.  L’entraide et le soutien sont des valeurs humanistes, bonnes, saines. Ce sont de belles valeurs. Et il y a des demandes qui sont totalement ajustées.
Mais parfois ce qui se joue, c’est l’attente de Maman. C’est important de voir clair à cet endroit. Parfois c’est l’attente de maman qui se joue, ce qui fait que l’attente est plus forte qu’une attente ajustée, et la demande est plus importante qu’une demande ajustée au présent. Dans ces situations, on peut même être dans une TROP grande exigence. Exigence parfois à la hauteur de notre insupportable vécu enfant. L’enfant en nous a une telle soif/faim de se sentir aimé/e, d’être écouté/e, entendu/e, compris/e, soutenu/e, accueilli/e, soignée… Alors il/elle demande beaucoup. Il elle demande TROP. Parfois c’est TROP pour l’autre. C’est important de comprendre ça car ça peut générer des conflits avec l’autre. Parce qu’au bout d’un moment, c’est tellement TROP, que l’autre va en avoir marre, va être agacé, et peut finir par avoir envie de nous éviter…
On peut toujours recevoir de l’aide extérieur. C’est important de se sentir libre de demander de l’aide, du soutien, de garder le contact avec ça. Il y a des personnes qui ne demande pas souvent d’aide, voire jamais. Non pas parce qu’elles sont autonomes, mais parce qu’elles n’osent pas, parce qu’elles ont peur du NON, peur de se sentir rejetées. Et puis, il y a les personnes qui ne VEULENT pas demander de l’aide. Qui tiennent à se débrouiller toujours toutes seules. Qui revendiquent leur indépendance. Sauf que l’indépendance n’existe pas. On est toujours dans la dépendance de quelque chose. On dépend des personnes qui fabriquent nos vêtements, qui construisent nos habitations, qui fabriquent nos aliments, et bien d’autres choses encore. On dépend de ceux qui les vendent. Et quand bien même on irait vivre nu dans les bois, sans se loger, ni manger… on dépendrait encore de l’air qu’on respire, et du sol pour marcher et s’asseoir ! Bref, l’indépendance n’existe pas. Ce qui existe c’est l’inter-dépendance (= nous dépendons les uns des autres) et l’autonomie. La volonté d’être indépendant, c’est plus un fantasme d’ado qui se dit indépendant, alors qu’il dort chez papa et maman, va se servir dans le frigo de papa et maman, etc. Et en même temps, c’est naturel que l’ado vive ça. C’est sa façon de prendre de la distance avec le berceau familial, de trouver son identité propre, de se sentir devenir adulte et libre.

On peut dont à la fois être autonome et, par moments, demander de l’aide de façon ajustée.
Tout l’art est de trouver le juste milieu, l’équilibre entre « je fais seul/e » et « je demande de l’aide, je suis aidé/e ».
En réalité, potentiellement, il y a plein de choses qu’on peut faire seul/e. Mais on n’a pas forcément appris à le faire seul/e, ou on n’a pas pris l’habitude le le faire seul/e. La bonne nouvelle, c’est que c’est encore et TOUJOURS possible d’apprendre ça ! Et d’en faire une habitude.

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Ensuite, dites-vous bien cela :
Il y a en ce monde, une personne qui a toujours été là pour vous, qui est là pour vous , et qui sera TOUJOURS là pour vous. Oui, vous avez bien lu/entendu : cette personne est là pour vous, à chaque instant, 7j/7 24h/24 !
Vous devinez de qui je parle ?
Cette personne, c’est vous !
Oh oui ! C’est énorme quand on intègre cela. Vous pouvez être potentiellement là pour vous, présent/e à chaque instant. Être présent/e, à l’écoute, attentif/ve à vous, et à votre enfant intérieur qui a tant besoin de vous. C’est vous même qui pouvez prendre soin de vous, et de votre enfant intérieur, tout le temps. Et ça c’est génial ! C’est merveilleux de savoir (dans son intellect), de SENTIR (dans son cœur et son corps) qu’il y a TOUJOURS quelqu’un pour soi. Et ce quelqu’un, c’est soi-même !
Arriver à se dire sincèrement : « Je suis là pour moi ». Se le dire avec amour. C’est puissant ! Se parler avec le cœur, là où nous ressentons l’amour : « Je suis là pour toi, [+son propre prénom] ». Prendre le temps de le SENTIR, de se le dire, dans son cœur, dans l’amour. On peut aussi prendre un support, comme une photo de soi enfant, une qu’on aime. Un support qui nous fait sentir de l’amour pour nous, qui fait fondre notre cœur, qui nous amène dans la tendresse et l’empathie envers soi.
C’est très réparateur d’être dans l’amour et l’empathie envers soi. De prendre soin de soi. De prendre le temps de s’écouter, de s’accueillir. D’accueillir l’enfant en soi, aussi. Prendre le temps d’accueillir ce qui nous traverse : nos sensations physiques, nos émotions, nos pensées, notre imaginaire, nos désirs, nos rêves…
Plus nous faisons ça pour soi, plus on se sent comblé/e, rempli/e. Déjà c’est super ! On récolte à ce niveau là.
Et en plus, étant plus rempli/e, on attend moins ça des autres. Ce qui améliore nettement les relations. Et donc nous récoltons également au niveau relationnel.
Et en plus, étant comblé/e, on a envie de partager ce trésor et on DONNE plus aux autres. On donne plus de temps, plus de présence, plus d’écoute, plus d’empathie, plus d’amour. Et la encore, nous récoltons. Nous récoltons une qualité relationnelle, et davantage dans le DON, donc gratuit, sans attente de retour.
Plus on prend soin de soi, plus on prend soi de soi et des autres ! C’est un cadeau pour soi, pour les autres et pour le monde qui en a tant besoin.

Quand on a compris ça, on compris beaucoup de choses ! Après, il reste à intégrer. Et pour cela, il faut PRATIQUER.
SI vous comprenez tout ce que j’ai expliqué et que vous ne faites rien, bon , ok, ça va cheminer un peu, ça va peut-être changer des choses. Un peu. Mais pour vivre un réel changement, il n’y a qu’une solution : PRATIQUER. A force de pratiquer, ça devient une habitude. Habitude de prendre du temps pour soi, de s’écouter, de prendre soin de soi.
Habitude de SENTIR l’amour qu’on a pour soi. C’est le socle. Si vous faites des choses pour vous sans amour, sans empathie, ça sera mécanique, ça ne fonctionnera pas. C’est comme de faire un gâteau sans en avoir envie. Il ne va pas avoir le même goût que celui qui est fait avec amour.
Il est essentiel et nécessaire de sentir cet amour pour soi.
Il y a une partie de vous qui est totalement prête à ça. Essayez de sentir cela.
Sentir l’amour que vous avez pour vous
Sentir que vous êtes disponible pour vous
Sentir ce que vous êtes prêt/e à faire pour vous
Sentir comment vous avez envie de prendre soin de vous
Sentez ça et les changements se feront naturellement
Vous n’aurez rien à forcer
L’amour et l’intention vous guideront pas à pas
Pour devenir la bonne mère pour vous
Pour votre enfant intérieur
La Maman dont vous avez toujours rêvé
Celle qui est vraiment là pour vous
A chaque instant
Vous avez la possibilité de l’incarner
C’est beau, n’est-ce pas ?

Auteure : Isabelle Dinckel

 

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