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Isabelle Dinckel - 06 75 06 04 25 - Gestalt psychothérapie - Soins Energétiques - Ateliers
VIDEO –  » Comment aller à la rencontre de son âme ?

VIDEO –  » Comment aller à la rencontre de son âme ?

L’ÂME :  Comment aller à la rencontre de son âme et en faire une force dans sa vie ?https://www.youtube.com/watch?v=9fcNFGWE8n0

🙏💚✨ C’est le genre de documentaire qui met vraiment du baume au cœur, ouvre les êtres, apaise… et nourrit notre âme
Je vous souhaite une belle aventure et libération.
De tout cœur.
Isabelle
🌼🌹🌍✨🌳🌸🌟

Résumé de l’auteure :

 » Comment aller à la rencontre de son âme ?
Depuis toujours, l’humanité s’interroge sur l’âme. Ce film propose de poursuivre cette réflexion en donnant la parole à des philosophes, des médecins, des thérapeutes, des chercheurs de sens, qui essaient de comprendre ce qu’est l’âme et comment elle peut être, plus que jamais, une ressource et une force dans la vie de chacun.
Narration: Hélène de Fougerolles
Avec Frédéric Lenoir, Laurent Gounelle, Sophie Peters, Catherine Henri-Plessier, Jonathan Lehmann, Thierry Janssen, Agnès Stévenin, Dr Antoine Moulonguet alias Sénanque, Dr Yasmine Liénard, Dr Olivier Chambon, Audrey Fella, Armelle Six, Réjane Ereau, Miriam Gablier, Stephane Ayrault, Christine Louveau, Catharina Von Bargen, Aurelie Godefroy, Thi Bich Doan, Jocelin Morisson, Gwenaëlle Batard, Laurence Baranski, Stéphane Riot, Matthieu Dardaillon, Michel Gallet, Lucie Hubert, Catherine Frade, Marc Silvestre, … « 

Valerie Seguin FILMS

https://www.youtube.com/watch?v=9fcNFGWE8n0 

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Je me lance dans l’auto-édition !

Je me lance dans l’auto-édition !

Bonjour,
 
J’avais envie de vous partager ceci aujourd’hui.
Grâce à la Gestalt, j’ai réalisé certains de mes rêves. Comme d’ouvrir mon cabinet de psychothérapie, voyager dans une île paradisiaque, aller nager avec les dauphins en liberté…
Gratitude infinie.
Et aujourd’hui, j’ai un rêve, qui a d’ailleurs ré-émergé il y a quelques années, grâce à un séminaire Gestalt, et qui aujourd’hui me pousse à être réalisé. Bref, tout un processus. Et aujourd’hui c’est mûr, le fruit peut tomber : je me lance dans l’autoédition de mon premier roman de fantasy ! C’est de la fantasy jeunesse, c’est-à-dire dans le même genre que « Le Seigneur des Anneaux » ou « Harry Potter », voyez ?
Je suis encouragée par des proches (ça m’aide !) et aussi un très beau retour d’une éditrice professionnelle de fantasy qui s’est intéressée à mon Art.
Heureuse de partager cela avec vous aujourd’hui.
 Aujourd’hui le rêve devient projet.
Je suis fermement décidée.
Alors si ça résonne pour vous et que votre coeur est joyeux de me suivre, vous pouvez le faire sur ma page d’auteure fraîchement créée sur Facebook.
Au plaisir de vous y retrouver !
Et je vous souhaite de tout coeur de réaliser vos rêves, parce que la vie est tellement exaltante quand elle a du sens, que le coeur parle VRAI, et que le corps vibre de joie.
 
Pour me suivre en tant qu’auteure en projet d’auto-édition, c’est par ici :
Les doigts de pieds en éventail

Les doigts de pieds en éventail

Les doigts de pieds en éventail, ça veut bien dire ce que ça veut dire.
Dans la vie on a le choix.
 
Soit
Se conformer, répondre aux attentes des autres, se laisser influencer, se laisser contrôler, obéir aux autres, continuer à avoir peur, s’étriquer, s’oublier soi-même finalement, jusqu’à oublier qui on est vraiment;. Et là… C’est la misère de l’âme…
Et ça ne sert à rien de maugréer après qui que ce soit (à part sortir sa colère, c’est vrai que des fois on a besoin de passer par là). La vérité est que c’est soi-même qui a choisi de mettre ces chaussures étriquées.
 
Soit
Accepter que c’est soi-même qui a créé cette situation (même si l’ego / victime est contrarié). Reprendre sa responsabilité. Reprendre son pouvoir. Quitter le contrôle, quitter la peur, quitter la soumission, quitter le costume, quitter le rôle erroné.
Envoyer valdinguer tout ça dans un grand feu de joie.
Retrouver ses vrais besoins, désirs, goûts, plaisirs et rêves.
Réaliser ce qui nous tient à coeur, ce qui nous prend aux tripes et nous fait vibrer de joie jusqu’aux tréfonds de notre âme.
 
Parfois on croit que c’est plus confortable de rester dans notre zone de « confort » car c’est ce à quoi on est habitué, et puis… La peur de l’inconnu, du changement….
Mais la réalité est que réussir à mettre les voiles et partir à l’aventure est, certes inconfortable, mais tellement grisant ! C’est exactement là, à cet endroit précis qu’on se sent vivant. Quand on ose sortir des ornières. Il y a dans le coeur ce brasiers qui s’enflamme. Et il y a ce cri de joie de l’âme, unique, savoureux et tellement vivant.
 
Isabelle Dinckel
Gestalt-Energie

Et retrouvez des messages inspirants régulièrement sur ma page facebook : Le temps d’être soi – Gestalt – Isabelle Dinckel
Sur le chemin qui mène à la rivière

Sur le chemin qui mène à la rivière

Rivière verte. illustration de Anne Rossi "La grande rivière" Littérature jeunesse

 

Quand elle sortit sur le chemin qui mène à la rivière
Il n’y avait plus d’oiseaux pour chanter
Ils n’avaient plus rien à manger
Depuis longtemps
La rivière était morte et les poissons aussi
Plus rien n’était comme avant
Quand tout était fructueux
Toutes les couleurs avaient disparues
Même la lune était noire
Depuis que la reine était malade
Le monde s’était arrêté
De rire aux éclats
C’était son cœur
Il ne battait presque plus
On n’entendait plus que le vent froid
S’engouffrer à travers les branches mortes
Elles aussi
.
Elle marchait sur le chemin qui mène au bord de la rivière
Ses pas étaient lourds
Elle ne savait pas où elle allait
Ses pas l’amenèrent au bord de la rivière
Derrière elle, le village abandonné
Il n’y avait qu’elle
Les autres avaient préféré quitter la misère
Et elle, elle se retrouvait seule au bord de la rivière
Au-dessus de l’eau elle se pencha
Et elle vit…
Elle vit…
Le visage de la reine en pâle reflet
Elle ne savait pas que c’était elle
Comme il était triste ce visage
Il était comme abandonné
Alors elle le regarda et le regarda
Elle regarda comme il pleurait ce beau visage
Ses larmes perles bleues rejoignaient la rivière
Elle caressa ce doux visage
Comme il était doux
Elle aima ce visage
Elle aima ces larmes perles bleues
Elle aima cette rivière
Elle aima qu’elle accueille si bien les perles bleues
.
Le soir sous la pluie
Elle revint au village
Elle répara sa maison
Elle fit un bon feu
Et l’intérieur se réchauffa
Il faisait bon et doux
.
Le lendemain
Elle plongea dans la rivière
Elle tapota la surface pour la réveiller
Le clapotis de ses doigts était comme le chant de l’eau
Ploc plic ploc
.
Le soir dans sa maison
Le feu était encore plus grand que la veille
Elle se réchauffa bonnement
Elle écouta le bois craquer
Chaque craquement était comme une porte qui s’ouvre
Enfin
Et son corps se mit à danser de joie
Son rire rejoint les étoiles
Qui se remirent à briller
La lune elle-même les admira
Et versa sur elle ses paillettes argentées
Elle s’endormit
Des rêves plein les cheveux
.
Le matin au réveil ses yeux avaient grandi
Elle voyait des couleurs jusque-là inconnues
A chaque endroit où une paillette de lune était tombée
Une fleur avait poussé
Et comme chaque paillette était unique
Chaque fleur l’était aussi
Dans ses cheveux des oiseaux avaient fait leur nid
Dans ses chaussures, des souris dormaient
Elle marche pieds nus désormais
Elle sent la terre fertile et les racines vivaces
En elle
.
Chaque jour elle se baigne dans la rivière
Elle joue avec les poissons
Ils se nourrissent des jolies pierres bleues du fond
Reflétées par le soleil
Si lumineux
Que plus rien ne peut l’entraver
.
Le village refleuri et reverdi
A attiré les abeilles et les oiseaux
Et autres animaux
Et tous les amoureux du village
Qui ont apprit à chanter
A joyeuseter
Et depuis
Chaque soir dans le village
On raconte cette histoire
Aux plus grands et aux enfants
Pour que toutes et tous se souviennent
Et entretiennent la beauté
De ce qui leur a été confié

Auteure texte : Isabelle Dinckel
Auteure illustration : Anne Rossi : « La grande Rivière », littérature jeunesse.

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Vous pouvez me faire un retour en commentaire sur ce blog.
Vous pouvez également le partager en précisant le nom de l’auteure, merci !

Osez Osez Osez, encore et encore !

Osez Osez Osez, encore et encore !

Parfois on n’ose pas
Parce-qu’on a peur d’échouer
Et échouer ça peut faire mal
À L’ego
Sauf que…
La véritable douleur
C’est de ne pas essayer
Parce que là
Ça blesse l’âme
Et c’est bien plus profond qu’une blessure de L’ego

Alors Osez Osez Osez !
Encore et encore !
Oh oui il y a risque de montagnes russes émotionnelles
Mais finalement les montagnes russes, ça peut être amusant n’est-ce pas ?

Et en même temps que vous hurlez de peur
Vous pourrez entendre rire et exalter votre âme
 
 
Auteure texte : Isabelle Dinckel
J’ai décidé d’être heureuse

J’ai décidé d’être heureuse

Chère vie, Univers, Grand tout, conscience supérieure, Père Noël, version quantique avancée de moi-même, ou quel que soit ton nom,

J’ai longtemps cru que je n’avais pas le droit au bonheur, que les bonnes choses, celles qui me faisaient envie n’étaient pas pour moi.
Alors voilà, après avoir ramé dans ma vie pendant toutes ces années, je me dis qu’il est temps de changer de croyances.
Alors tu sais quoi ?
Aujourd’hui je décide de croire que le BONHEUR est POUR MOI. Pour moi aussi. OUI !
J’ouvre mon cœur, la porte du bonheur, de la réussite, de l’abondance, de  la SATISFACTION de mes besoins, de mes envies, désirs, rêves… Bref, tout ce qui est BON pour moi.
J’accueille TOUT le BON que tu m’envoies.
S’il te plaît, aide-moi à avoir les bras assez grands et forts pour accueillir tout ça (symboliquement bien sûr, Je n’ai pas envie de ressembler à la femme élastique !)
Et les ailes suffisamment déployées pour entourer tes cadeaux d’AMOUR et en prendre le plus grand soi.

Merci de m’aider à accomplir tout ça.

De tout cœur,

 

Isabelle

 

Croire en soi

Croire en soi
Pas si simple quand on n’en a pas l’habitude
Quand on n’a pas été élevé/e
Avec un adulte encourageant
Bienveillant et valorisant

Et encore plus dur
Quand on a été élevé/e
Avec un adulte dévalorisant
Jugeant et cassant

Surtout quand on se rend compte
Qu’on a introjecté (inculqué)
Toutes les dévalorisations
Et qu’on les transporte en soi
Et qu’on se les répète
Parfois en boucle
Inconsciemment

Et en même temps
Si vous avez conscience de ça
C’est bon signe
C’est que ça n’est plus tout à fait inconscient
Et que vous allez pouvoir vous libérer de ces pensée poisons !

Vous n’êtes pas obligé/e
De continuer à écouter ces mensonges
Ces mensonges sur vous
Vous pouvez les transformer
Vous pouvez décider de croire en vous
Libre à l’autre de ne pas croire en vous
Ça lui appartient
Vous pouvez lui rendre ce qui lui appartient
Et reconstruire votre monde
Comme vous le rêvez !

 
 
 

 

Auteure : Isabelle Dinckel

Être une bonne mère pour soi

Être une bonne mère pour soi

Voici une clé qui pourra changer bien des choses dans votre vie 🙂

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Dans notre histoire personnelle, nous avons vécu des manques. Des besoins n’ont pas été satisfaits, n’ont pas été comblés.
Pour la plupart d’entre nous, il y a eu beaucoup d’insatisfaction. Cela nous a fait vivre beaucoup de frustration. TROP de frustration. Et cette grande frustration a pu générer d’autres émotions fortes, comme la colère. Et la plupart du temps, ces fortes émotions n’ont pas été régulées. Alors, avec toutes ces fortes émotions qui étaient TROP, on a vécu l’insupportable. Et cet insupportable, nous avons tout fait, dès que nous avons pu, pour ne plus le contacter. et donc, nous avons tout fait pour éviter de contacter la frustration. Car nous avons fait le raccourcit inconscient : frustration = insupportable. Et nous avons tendance à l’éviter, encore aujourd’hui, même si c’est inconscient. Nous faisons tout pour éviter la frustration. C’est important de le comprendre car ça peut expliquer certains comportements que nous avons. Comme de vouloir les choses, tout de suite.

.
Ce qui se passe aussi, et c’est ce dont je vais vraiment parler ici, c’est que notre enfant intérieur qui a tant manqué, est toujours dans l’attente que Maman vienne le/la combler, s’occuper de lui/d’elle. Ce n’est pas l’adulte en nous qui vit ça. c’est l’enfant. Il/elle a toujours envie/besoin que Maman s’occupe de lui/elle, et prenne soin de lui/elle. Il/elle est dans l’ATTENTE permanente. Et cela a des conséquences sur notre vie aujourd’hui. Par exemple, on va vivre la dépendance. dépendance affective, financière, matérielle, corporelle… Quand on vit ce genre de situation, ça peut activer cette attente que quelqu’un vienne s’occuper de nous. Ce quelqu’un n’est pas forcément notre mère d’origine. Cela peut être quelqu’un qui, pour nous, peut potentiellement jouer ce rôle. Comme le conjoint, une amie, une sœur… Nous vivons souvent cela avec la compagne ou le compagnon, le mari, la femme, bref l’adulte qu’on aime tant et avec qui on vit en couple. Parce qu’avec cette personne, on vit un attachement profond et que cette attachement profond permet l’émergence des expériences non-digérées, que nous appelons « Gestalt Inachevées » en Gestalt. Pour ça que la vie de couple est parfois mouvementée 🙂
Et en même temps, cette attente peut être vécu avec l’autre en général.
Quoi qu’il en soit, on a tendance à ATTENDRE que l’autre :
Prenne soin de nous
Nous écoute
Nous entende
Nous respecte
Nous comprenne
Nous aime
Nous reconnaisse
Fasse des choses pour nous
Parfois, si on observe bien, on peut même se surprendre  à attendre que l’autre nous chouchoute. Un peu comme une maman, quoi… Surtout quand on est malade. C’est bien d’arriver à voir ça. La plupart du temps, ça se passe inconsciemment. Ce qui aide à le voir, c’est qu’à chaque fois qu’on voudrait cela, et que l’autre ne répond pas à la demande, alors on ressent une telle frustration ! insupportable ! Si vous arriver à le voir, c’est déjà un changement ! Parce que l’inconscient devient conscient. C’est un sacré changement !
Parfois on va même s’arranger, toujours inconsciemment, pour être dans cette position de dépendance. Pour pouvoir RECEVOIR, être aidé/e, chouchouté/e. Pour recevoir ce dont l’enfant a besoin.
Sauf que, en réalité, Maman d’origine n’est plus là, ou pas tout le temps. Elle est dans une autre maison, ou à 100km, ou 500km, voire plus loin encore, et elle peut même être décédée. Donc nous faisons jouer ce rôle à d’autres personnes.

.
Bien sûr, je ne suis pas en train de dire qu’il ne fait JAMAIS demander de l’aide.  L’entraide et le soutien sont des valeurs humanistes, bonnes, saines. Ce sont de belles valeurs. Et il y a des demandes qui sont totalement ajustées.
Mais parfois ce qui se joue, c’est l’attente de Maman. C’est important de voir clair à cet endroit. Parfois c’est l’attente de maman qui se joue, ce qui fait que l’attente est plus forte qu’une attente ajustée, et la demande est plus importante qu’une demande ajustée au présent. Dans ces situations, on peut même être dans une TROP grande exigence. Exigence parfois à la hauteur de notre insupportable vécu enfant. L’enfant en nous a une telle soif/faim de se sentir aimé/e, d’être écouté/e, entendu/e, compris/e, soutenu/e, accueilli/e, soignée… Alors il/elle demande beaucoup. Il elle demande TROP. Parfois c’est TROP pour l’autre. C’est important de comprendre ça car ça peut générer des conflits avec l’autre. Parce qu’au bout d’un moment, c’est tellement TROP, que l’autre va en avoir marre, va être agacé, et peut finir par avoir envie de nous éviter…
On peut toujours recevoir de l’aide extérieur. C’est important de se sentir libre de demander de l’aide, du soutien, de garder le contact avec ça. Il y a des personnes qui ne demande pas souvent d’aide, voire jamais. Non pas parce qu’elles sont autonomes, mais parce qu’elles n’osent pas, parce qu’elles ont peur du NON, peur de se sentir rejetées. Et puis, il y a les personnes qui ne VEULENT pas demander de l’aide. Qui tiennent à se débrouiller toujours toutes seules. Qui revendiquent leur indépendance. Sauf que l’indépendance n’existe pas. On est toujours dans la dépendance de quelque chose. On dépend des personnes qui fabriquent nos vêtements, qui construisent nos habitations, qui fabriquent nos aliments, et bien d’autres choses encore. On dépend de ceux qui les vendent. Et quand bien même on irait vivre nu dans les bois, sans se loger, ni manger… on dépendrait encore de l’air qu’on respire, et du sol pour marcher et s’asseoir ! Bref, l’indépendance n’existe pas. Ce qui existe c’est l’inter-dépendance (= nous dépendons les uns des autres) et l’autonomie. La volonté d’être indépendant, c’est plus un fantasme d’ado qui se dit indépendant, alors qu’il dort chez papa et maman, va se servir dans le frigo de papa et maman, etc. Et en même temps, c’est naturel que l’ado vive ça. C’est sa façon de prendre de la distance avec le berceau familial, de trouver son identité propre, de se sentir devenir adulte et libre.

On peut dont à la fois être autonome et, par moments, demander de l’aide de façon ajustée.
Tout l’art est de trouver le juste milieu, l’équilibre entre « je fais seul/e » et « je demande de l’aide, je suis aidé/e ».
En réalité, potentiellement, il y a plein de choses qu’on peut faire seul/e. Mais on n’a pas forcément appris à le faire seul/e, ou on n’a pas pris l’habitude le le faire seul/e. La bonne nouvelle, c’est que c’est encore et TOUJOURS possible d’apprendre ça ! Et d’en faire une habitude.

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Ensuite, dites-vous bien cela :
Il y a en ce monde, une personne qui a toujours été là pour vous, qui est là pour vous , et qui sera TOUJOURS là pour vous. Oui, vous avez bien lu/entendu : cette personne est là pour vous, à chaque instant, 7j/7 24h/24 !
Vous devinez de qui je parle ?
Cette personne, c’est vous !
Oh oui ! C’est énorme quand on intègre cela. Vous pouvez être potentiellement là pour vous, présent/e à chaque instant. Être présent/e, à l’écoute, attentif/ve à vous, et à votre enfant intérieur qui a tant besoin de vous. C’est vous même qui pouvez prendre soin de vous, et de votre enfant intérieur, tout le temps. Et ça c’est génial ! C’est merveilleux de savoir (dans son intellect), de SENTIR (dans son cœur et son corps) qu’il y a TOUJOURS quelqu’un pour soi. Et ce quelqu’un, c’est soi-même !
Arriver à se dire sincèrement : « Je suis là pour moi ». Se le dire avec amour. C’est puissant ! Se parler avec le cœur, là où nous ressentons l’amour : « Je suis là pour toi, [+son propre prénom] ». Prendre le temps de le SENTIR, de se le dire, dans son cœur, dans l’amour. On peut aussi prendre un support, comme une photo de soi enfant, une qu’on aime. Un support qui nous fait sentir de l’amour pour nous, qui fait fondre notre cœur, qui nous amène dans la tendresse et l’empathie envers soi.
C’est très réparateur d’être dans l’amour et l’empathie envers soi. De prendre soin de soi. De prendre le temps de s’écouter, de s’accueillir. D’accueillir l’enfant en soi, aussi. Prendre le temps d’accueillir ce qui nous traverse : nos sensations physiques, nos émotions, nos pensées, notre imaginaire, nos désirs, nos rêves…
Plus nous faisons ça pour soi, plus on se sent comblé/e, rempli/e. Déjà c’est super ! On récolte à ce niveau là.
Et en plus, étant plus rempli/e, on attend moins ça des autres. Ce qui améliore nettement les relations. Et donc nous récoltons également au niveau relationnel.
Et en plus, étant comblé/e, on a envie de partager ce trésor et on DONNE plus aux autres. On donne plus de temps, plus de présence, plus d’écoute, plus d’empathie, plus d’amour. Et la encore, nous récoltons. Nous récoltons une qualité relationnelle, et davantage dans le DON, donc gratuit, sans attente de retour.
Plus on prend soin de soi, plus on prend soi de soi et des autres ! C’est un cadeau pour soi, pour les autres et pour le monde qui en a tant besoin.

Quand on a compris ça, on compris beaucoup de choses ! Après, il reste à intégrer. Et pour cela, il faut PRATIQUER.
SI vous comprenez tout ce que j’ai expliqué et que vous ne faites rien, bon , ok, ça va cheminer un peu, ça va peut-être changer des choses. Un peu. Mais pour vivre un réel changement, il n’y a qu’une solution : PRATIQUER. A force de pratiquer, ça devient une habitude. Habitude de prendre du temps pour soi, de s’écouter, de prendre soin de soi.
Habitude de SENTIR l’amour qu’on a pour soi. C’est le socle. Si vous faites des choses pour vous sans amour, sans empathie, ça sera mécanique, ça ne fonctionnera pas. C’est comme de faire un gâteau sans en avoir envie. Il ne va pas avoir le même goût que celui qui est fait avec amour.
Il est essentiel et nécessaire de sentir cet amour pour soi.
Il y a une partie de vous qui est totalement prête à ça. Essayez de sentir cela.
Sentir l’amour que vous avez pour vous
Sentir que vous êtes disponible pour vous
Sentir ce que vous êtes prêt/e à faire pour vous
Sentir comment vous avez envie de prendre soin de vous
Sentez ça et les changements se feront naturellement
Vous n’aurez rien à forcer
L’amour et l’intention vous guideront pas à pas
Pour devenir la bonne mère pour vous
Pour votre enfant intérieur
La Maman dont vous avez toujours rêvé
Celle qui est vraiment là pour vous
A chaque instant
Vous avez la possibilité de l’incarner
C’est beau, n’est-ce pas ?

Auteure : Isabelle Dinckel

 

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Autant vivre !

Autant vivre !

 

Il y aura toujours des personnes pour juger, rabaisser, dévaloriser.
Voilà. C’est comme ça.
Quoi qu’on fasse.
Alors autant faire ce qui nous plaît !
Autant donner libre cours à nos envies, à nos humeurs,
À notre créativité, à nos couleurs
Autant exploser de vie !
Autant
S’affirmer
Oser
Autant vivre !

!

 

Auteure : Isabelle Dinckel

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Accepter de voir

Accepter de voir

Accepter de voir le décalage
entre
qui on est vraiment
et
ce qu’on montre de soi,
C’est un premier pas courageux vers le « vrai soi » et la liberté.

Ça se fête !

 

Auteure : Isabelle Dinckel

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